Le monde merveilleux par excellence est l’héritage du Moyen Age et plus particulièrement des aventures romancées des preux chevaliers.
Ceux-ci évoluent dans un monde où les sorciers, mages, guerriers et créatures extraordinaires se côtoient. Ces êtres fabuleux ont inspiré les récits de cette époque mais pas seulement. Que seraient les écrits de JRR Tolkien sans ces histoires séculaires. Et que seraient les créations de Disney sans ce folklore antédiluvien ?
Une nouvelle force régissait le monde. Non pas la richesse matérielle ou le pouvoir issu de la noblesse mais la magie. La croyance populaire s’y référait (et s’y réfère) pour se donner
confiance en l’avenir. N’est-il pas réconfortant de s’imaginer qu’il existe un flux invisible capable de réaliser des prouesses et des miracles ?
Et si cela existait ?
Une autre vertu faisait foi alors. L’héroïsme dicté par le courage. Les actes de cette sorte étaient loués et
admirés. Les hommes capables de briller par ces qualités recueillaient tous les suffrages et augmentaient leur pouvoir de séduction.
Certains présidents actuels font appel à cette fibre du courage en haranguant les troupes par des discours
volontaires « travailler plus, gagner plus ! »
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