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Le Chardonneret est un livre captivant et de longue haleine : plus de 1100 pages. Donna Tartt nous narre le drame, mais en est-ce vraiment un ?, de Theodore Decker. Drame étroitement lié à une oeuvre dérobée dans les premières pages : "le chardonneret" du peintre Carel Fabritius.
Entre souffrance, adolescence, influences négatives et débauches, émergent des ilots de beauté et d'amour.
Ainsi, "le chardonneret" est un ouvrage coloré et profondément introspectif.
J'en veux pour preuve la série de rêves étranges qu'il a provoquée en moi tout au long de sa lecture (souvent le soir avant de dormir).
Il faut dire que le style de Donna Tartt est tellement réaliste, que le cerveau s'y laisse aisément piéger, confondant fiction et réalité.
Bref, gros coup de coeur pour ce roman qui permet de se questionner sur nos choix, notre condition humaine et le sens de la vie.
La fin est résolument optimiste, malgrès les apparences...
L'histoire
C'est un minuscule tableau de maître. Un oiseau fascinant. Inestimable. La raison pour laquelle Theo Decker, 13 ans, s'est retrouvé en possession de ce chef-d'œuvre de l'art flamand est une longue histoire... Un hasard qui, huit ans après ce jour tragique de pluie et de cendres à New York, l'obsède toujours autant. Des salons huppés de Manhattan aux bas-fonds mafieux d'Amsterdam ou de Las Vegas, Le Chardonneretsurveille l'effroyable descente aux enfers de Theo et préside à son étrange destin... Cet ouvrage a reçu le prix Pulitzer
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